mardi 22 mai 2007

star craft 3


La rumeur courait depuis tellement longtemps qu'elle en était devenue presque insupportable pour la plupart des fans : Blizzard est-il réellement dans la préparation de StarCraft II, la suite du STR magistralement sorti en 1998 sur PC ? Plusieurs indices permettaient de le penser depuis plusieurs mois, et notamment cette phrase prononcée par Itzik Ben Bassat (Blizzard) durant le lancement de WoW Burning Crusade en janvier dernier : "en tant que joueur de StarCraft, j'espère que nous n'aurons pas à attendre 10 ans - et le jeu a été lancé en 1998 - avant de fêter le prochain volet de la série ensemble". Mais à l'image de cette promesse facile et ambigüe, rien ne permettait vraiment d'être certain d'un StarCraft II à court terme. Rien et surtout pas le succès de WoW, justement, qui pouvait laisser penser que Blizzard tenterait de mettre en place un MMO StarCraft permettant de prendre éventuellement la relève de WoW quand l'heure viendrait. L'idée était au demeurant alléchante, et a permis à Blizzard d'entretenir jusqu'au bout le suspense quant à ses intentions véritables. Ainsi, le 16 mai dernier nous écrivions encore : "les esprits commencent à sérieusement s'échauffer sur le web. Et finalement, c'est le site CVG qui a dégainé le premier, en affirmant savoir "de source bien placée" que le fameux projet serait bien un MMO basé sur StarCraft (news du 05 mai). Le site est revenu hier à la charge (le 14 mai), en ré-affirmant évidemment qu'il s'agirait d'un titre StarCraft (ce qui semble effectivement acquis), mais sans approfondir l'aspect MMO". Autant dire que le suspense était à son comble en abordant ce samedi 19 mai, où Blizzard a donc enfin levé le voile sur son futur gros titre : il s'agira bien de StarCraft II. Ouf. Les fans peuvent reprendre leur respiration tout en commençant à se poser LA question : le jeu sera t-il à la hauteur de son illustre aîné ?

tête à claques


Faire un sketch où Kunta Kinté, héros de la résistance noire à l’esclavage, apparaît comme un cannibale ne fait pas l’unanimité. Rappelez- vous : Kunta Kinté est l’ancêtre d’Alex Haley, écrivain afro-américain, auteur de Roots. Ce roman, qui a reçu le prix Pulitzer dans les années 1970, raconte l’histoire d’une famille d’esclaves noirs aux Etats- Unis. Depuis Kunta Kinté, le premier déporté, jusqu’à l’abolition de l’esclavage. Alors le sketch « le cannibale », diffusé sur le site internet québécois Têtes à claques, a de quoi blesser la communauté africaine. La vidéo présente un couple de touristes québécois en Afrique marinant dans la marmite d’un cannibale, qu’ils nomment ironiquement Kunta Kinté. Un sketch d’autant plus blessant que la date de mise en ligne correspond au 30ème anniversaire de la publication du roman Roots d’Alex Haley.
Le clip vidéo est jugé insultant, diffamatoire, irrespectueux et raciste par Québec pluriel, organisme québécois d’intégration des immigrés. Il soutient que le clip, visionné par plus de trois millions d’internautes, nuit à l’image et l’histoire des Noirs et qu’il alimente les préjugés contre eux. Québec pluriel a en outre déploré le fait que Michel Beaudet, le créateur des Têtes à claques, refuse de retirer la vidéo de son site internet. L’organisme a donc déposé, cette semaine, une plainte auprès de la commission canadienne des droits de la personne dans le but d’expliquer qu’il est inacceptable d’associer Kunta Kinté, véritable emblème de la résistance pendant l’esclavage, à un cannibale. Dans son combat, Québec pluriel a obtenu le soutien de la fondation américaine Kunta Kinté-Alex Haley.
« Vision paranoïaque d’un petit groupe »
De son côté Michel Beaudet, qui a crée le site en 2006, accuse le coup et n’a pas l’intention de céder aux demandes de Québec pluriel. Pour ce publicitaire de 40 ans, c’est très clair : c’est une « vision paranoïaque d’un petit groupe de personnes qui ne représente pas la majorité ». Et d’ajouter qu’« on ne peut pas permettre à une infime minorité de nous dicter de quoi on doit rire ».
Têtes à claque est un site internet présentant plusieurs clips vidéo de sketches qui se veulent « drôles ». Chaque jour, 250 000 internautes se connectent pour se détendre et rire des différentes mises en scènes des personnages. Cependant, les avis restent très partagés car certaines écoles et entreprises bannissent ce site de leurs connections internet : elles jugent les propos vulgaires et contraire à leur missions éducatives. Rire de tout, pourquoi pas ? Mais encore faut-il respecter l’intégrité de chacun.

Pirate bay

Le site « The Pirate Bay » a le vent dans les voiles! En effet, d'ici peu émergera un féroce concurrent au célèbre site Youtube où tous pourront partager des vidéos gratuitement. « The Video Bay » (thevideobay.org) viendra se rajouter à la flotte pirate avec une différence majeure toutefois; il n'y aura aucune censure de la part de l'équipage et les droits d'auteur seront purement ignorés.
The Pirate Bay, situé en Suède, est le plus grand site internet permettant le partage de fichiers de tout acabit tel que des films, des logiciels et de la musique. Les lois suédoises concernant les droits d'auteur étant plutôt souples, les géants commerciaux tentant de faire fermer le site n'ont que peu de recours légaux. Précisions que The Pirate Bay n'héberge présentement pas le contenu piraté, mais en favorise tout simplement le partage en redirigeant les visiteurs vers les fournisseurs de fichiers grâce à la technologie appelée « bittorrent ».Youtube tente autant que possible de censurer le contenu offensant ou d'éliminer les vidéos protégées par les droits d'auteur de son site. On n'a qu'à penser au Bye Bye de Rock et Belles Oreilles de l'an 2006 dont les vidéos ont été retirées du site à la demande du groupe. Toutefois, contrairement à Youtube, Brokep, un des grands capitaines du site pirate, clame que son nouveau produit sera censuré non pas par l'équipe de Pirate Bay, mais par la communauté. Ce seront donc les usagers qui auront le dernier mot à savoir si une vidéo doit ou non être diffusée.On devra donc s'attendre à un contenu parfois adulte et dérangeant. Il faudra aussi prévoir un tollé de protestations de la part de nombreuses compagnies qui risqueront de perdre beaucoup d'argent avec des poursuites légales à n'en plus finir. Jusqu'alors, les dirigeants de Pirate Bay s'en tiraient plutôt bien du fait que le contenu illégal n'était nullement hébergé sur leurs serveurs. Désormais, ce sera une toute autre chose, car les vidéos seront situés sur les disques durs des installations de Pirate Bay et certaines compagnies seront sûrement prêtes à dépenser une fortune pour faire sombrer le nouveau navire des flibustiers suédois...

multi au qyebec

Expansion majeure pour Beenox à Québec 04/05/2007 - L'éditeur de jeux vidéo, qui annonce la création de 200 postes d'ici deux ans et l'établissement d'un centre d'assurance qualité, confirme son attachement pour la Capitale-Nationale. Beenox pourrait ainsi devenir le principal employeur de son secteur à Québec en 2009. Jean-François Ferland
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Le studio québécois Beenox, qui est une filiale de l'éditeur international Activision, annonce qu'il passera de 80 à 200 employés d'ici 2009. L'entreprise de Québec, qui avait doublé ses effectifs au cours de la dernière année et demie, procède à cette expansion pour intensifier la création de jeux vidéo sous licence, qui sont inspirés de films américains et de superhéros, qui seront destinés aux consoles de nouvelle génération que sont la Xbox 360 de Microsoft, la Playstation 3 de Sony et la Wii de Nintendo.Beenox a également reçu le mandat d'établir un centre d'assurance qualité à Québec pour faire l'essai de titres d'Activision. Ce centre mettra à l'essai certains titres édités pour la console portative DS de Nintendo et pour l'ordinateur personnel, puis étendra progressivement son champ d'action aux autres consoles. Le studio continuera de procéder à la conversion de titres développés pour les consoles en versions pour l'ordinateur personnel, mais cette spécialité constituera dorénavant 15 % de ses activités commerciales. Le premier jeu développé par Beenox pour les consoles de jeu vidéo sortira pour la prochaine période des Fêtes. Le président-directeur général de Beenox, Dominic Brown, manifeste son enthousiasme face à la progression de son entreprise depuis qu'elle est devenue en 2005 une filiale d'Activision, l'un des grands éditeurs de l'industrie du jeu vidéo. Il souligne notamment l'indépendance accordée par l'éditeur californien, alors que d'autres éditeurs optent pour l'imposition de lignes directrices strictes.« Depuis que nous faisons partie du groupe Activision, beaucoup d'opportunités se sont présentées à nous et nous les avons saisies. Depuis deux ans, notre équipe a démontré sa valeur à plusieurs reprises, et nous sommes en train de nous tailler une place enviable dans le groupe », déclare M. Brown. « Lorsque Activition fait l'acquisition d'un développeur, ils font l'acquisition d'une formule gagnante. Ils ne veulent pas tout changer ni s'approprier toutes les ressources, mais plutôt faire croître, développer, et se baser sur le meilleur du développeur. Ils ne sont pas venus ici pour changer la structure d'administration ou quoi que ce soit. Ils nous ont laissés indépendants et nous laissent gérer nos affaires, mais ils nous fournissent toutes les ressources nécessaires pour aller encore plus loin », ajoute-t-il.

disque dur

S'offrir un disque dur multimédia sans se ruiner
Une nouvelle gamme qui révise le prix du gigaoctet à la baisse tout en intégrant des fonctions multimédia aux boîtiers.
Pierre Fontaine, le 22/05/2007 à 19h00
Que ce soit en 320 Go (pour 199,90 euros) ou en 750 Go (pour 249,90 euros), le rapport entre le prix et la capacité de stockage proposée par les disques de la gamme Store and Play de Packard Bell est plus qu'attractif! D'autant que ce ne sont pas de simples disques durs externes puisqu'ils intègrent des fonctions multimédias.
Il est ainsi possible de les brancher à un téléviseur pour y regarder directement les vidéos qu'ils contiennent. Et justement, côté connectique, l'offre est assez riche. On trouve même une sortie numérique capable de supporter de la vidéo haute définition (1080i) et une sortie audio SPDIF.
Deux constatations liées à la HD. Tout d'abord, on regrette l'absence d'une prise HDMI. Même si, avouons-le, les fichiers HD éventuellement contenus sur ces disques ne devraient pas poser de problème au niveau de la protection HDCP. Ensuite, et c'est assez troublant, dans un contexte d'utilisation avec des fichiers vidéos HD, ces disques pourtant de taille confortable paraissent un peu petits, presque trop petits.
Quoi qu'il en soit, le boîtier, dont le design rappelle vaguement celui d'un Mac mini un peu épais et noir, est plutôt agréable à l'œil et compact. Il se connecte par ailleurs à un PC ou à un Mac via le port USB 2.0.
Dans les grandes lignes, cette gamme de produits a l'air très attrayante. Reste qu'il faudrait pouvoir juger de la qualité de l'interface et du rendu avant de se prononcer définitivement en faveur de ces appareils. Une prise en main à suivre avec attention donc. Mais avec un gigaoctet à ce prix-là, on commence sérieusement à se dire que graver ses données n'est plus tellement intéressant.
Pour :- Le rapport prix/quantité de stockage- La connectique plutôt complète
Contre :- Pas de prise HDMI

blackberry

Un Blackberry plus petit et plus léger
Tout en conservant un vrai clavier et en offrant des fonctions multimédias améliorées, le Curve tient dans une poche.
Stéphanie Molinier, le 22/05/2007 à 14h55
Avec le Curve 8300, RIM remet le Blackberry au goût du jour dans sa version la plus classique, avec un clavier azerty complet. Pas de véritable innovation technologique donc, mais des dimensions compactes, un poids plume de 111 grammes et, bien sûr, quelques améliorations. Avec ses lignes courbes ainsi qu'une finition chrome et argent, ce modèle mise aussi sur l'esthétique.
Tout d'abord, en tant qu'appareil multimédia, ce téléphone, compatible avec le réseau Edge, est équipé d'un appareil photo 2 mégapixels et d'un lecteur audio avec haut-parleur intégré, en plus d'une prise jack 3,5 mm pour un casque.
Il est désormais possible d'écouter ses MP3 tout en répondant à ses e-mails. La gestion des titres a également été améliorée, le logiciel Media Manager de Roxio pour Blackberry (fourni) autorisant par ailleurs le transcodage automatique de l'audio et de la vidéo. On peut donc aisément transférer ses fichiers multimédias vers le Curve.
Pour le stockage, la mémoire de 64 Mo peut être étendue grâce à un emplacement pour carte MicroSD.
Comme tous les Blackberry, le Curve est optimisé pour la gestion des e-mails grâce à son large clavier, son grand écran dont la luminosité s'adapte automatiquement à la lumière ambiante et un système de navigation facilité par un trackball central.
Il peut supporter jusqu'à dix comptes de messagerie (y compris des comptes personnels, via les FAI grand public). Il est également doté d'un nouveau correcteur orthographique et d'un dictionnaire personnalisable. Enfin, il intègre un véritable navigateur Web pour un affichage amélioré des pages Internet. En revanche, il n'est toujours pas compatible Wi-Fi.
Avec une batterie de 1100 mAh, l'autonomie annoncée serait de plus de 400 heures en veille et de quatre heures en communication. Plutôt correct, si l'on tient compte du poids et de la taille de l'appareil.
Le Curve sera disponible à partir de la fin avril chez Bouygues Telecom au prix de 202 euros (169 euros HT). L'opérateur propose en complément de ses forfaits voix, une offre de messagerie Blackberry à partir de 10,75 euros par mois (9 euros HT) autorisant 5 Mo de transfert de données.
Pour :- Gestion de la messagerie- Equipement multimédia- Autonomie améliorée
Contre :- Absence de 3G et de Wi-Fi- Enregistrement vidéo non prévu

2007

au premier trimestre 2007, plus de 7 millions de foyers français sont équipés en box ADSL [les modem de connexion à Internet haut-débit] au 1er trimestre 2007, ce qui correspond à une progression de 63% par rapport au premier trimestre 2006.L'étude montre que c'est en grande partie chez les ménages dont le chef de famille se situe dans la tranche d’âge 35-49 ans et de catégorie socioprofessionnelle CSP+ que l’on trouve les box ADSL. Ils sont également plutôt citadins : près de la moitié des foyers équipés d’un modem ADSL habitent dans l’agglomération parisienne ou en agglomération de plus de 200 000 habitants.De plus, après la connexion à l’Internet et au téléphone, la box est devenue un moyen de réception de la télévision : 1,85 millions de foyers français l’ont connectée au poste de télévision et reçoivent donc la télévision par ADSL.Selon le régulateur, la France comptait 12 millions d'accès haut débit par ADSL fin 2006 (article du 2 mars 2007) et 2,6 millions d'abonnements à la télévision sur xDSL (article du 3 mai 2007).

mardi 8 mai 2007

Sortie Jeudi 17 Mai

Belle sortit en perspective avec le groupe de Design et Créativité au Musée des Beaux Art

L'Exposition: IL était une fois Walt Disney

http://www.mbam.qc.ca/fr/expositions/exposition_125.html

Motorola

Des panneaux solaires sur nos futurs ordinateurs?
Les nouvelles technologies pour le développement durable sont en route, et on aurait tendance à se demander ce que font les grandes multinationales pour améliorer celles-ci pour qu’elles s’adaptent à l’environnement.
Ainsi, le mois dernier, le leader Motorola a déposé un des premiers brevet pour ses téléphones portables, qui seront donc bientôt équipé de panneaux solaires.



Bon bien sûr vous ne serez pas obligé de mettre un panneau solaire aussi gros dans votre poche…

C’est l’écran LCD des téléphones portables qui sera utilisé en tant que capteur solaire, le rechargeant presque automatiquement, et offrant ainsi au téléphone une durée d’autonomie tout à fait convenable.

Pour le moment on ne sait toujours pas quand seront disponibles ces téléphones écologiques, à quels prix, pour quels types de modèles, si ce seront les seuls produits concernés, et enfin plus difficile encore : savoir si ce syndrome atteindra aussi les ordinateurs portables…

Source:http://www.extremepc.fr/actualite-472-Des-panneaux-solaires-sur-nos-futurs-ordinateurs.html